Consultation Télétravail... Premiers résultats.

Portrait type des répondant.e.s à la consultation sur le télétravail

organisée du 2 novembre au 15 décembre 2020

Il s'agit d'une femme travaillant dans la filière administrative, de catégorie A et titulaire de son poste. Elle occupe un bureau individuel, travaille sur un ordinateur, a peu de contact avec le public. Lors du confinement, elle était en télétravail car son emploi lui permet de télétravailler. 

Elle souhaite la mise en place du télétravail mais dans de bonnes conditions, 2 jours par semaine et si possible flexible avec des plages horaires d’indisponibilité. Le droit à la déconnexion et un encadrement des outils professionnels régi par des règles communes sont souhaités. 

Un référent télétravail n’est pas nécessaire, le N+1 serait l’interlocuteur pour gérer le télétravail. Elle réclame un encadrement des conditions d’utilisation des dispositifs de contrôle de l'activité et d’utilisation des données personnelles. 

Elle veut le même environnement de travail numérique qu’au bureau, ce qui n’est pas le cas actuellement. Elle a plutôt besoin de formations spécifiques au télétravail concernant les outils du travail à distance et son organisation accompagnée de procédures. Car elle n’a eu qu’un contrat oral pour être en télétravail lors du confinement. Le management en télétravail s’est plutôt effectué par visioconférence (pendant la période de confinement) 

Elle désire conserver son lieu de travail. Même si à son domicile, elle possède un endroit à part destiné au télétravail. 

Elle n’a pas bénéficié d’une prise en charge des équipements informatiques ni pour l’aménagement de son poste de travail. Elle souhaite donc leurs prises en charge mais elle est partagée quant à la prise en charge des frais générés au domicile. 

Enfin, elle est favorable au fait que les femmes enceintes et les salarié.e.s handicapé.e.s puissent accéder de droit au télétravail 

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