L’Ugict-CGT lance une campagne revendicative à destination des agent·es de la Fonction publique, technicien.nes et professions intermédiaires.
Qualité du service public, éthique professionnelle, expertise... Ces agent.es veulent pouvoir bien travailler. Quelles perspectives pour sortir d’une situation dégradée ? La campagne a été amorcée avec la publication d’un livret articulé autour de trois témoignages qui étaye un corpus revendicatif avec de nombreux chiffres clefs.
STOP À LA DÉGRADATION
DES CONDITIONS DE TRAVAIL,
IL FAUT RENOUER AVEC LA FINALITÉ DU TRAVAIL ET DU SERVICE PUBLIC !
Après avoir été sur-sollicité·e·s durant la crise
sanitaire pour maintenir le niveau d’activité
dans leur service, les professions intermédiaires
et techniciennes veulent se faire entendre ! Heures supplémentaires, horaires décalés, effectifs
insuffisants, intensification du rythme et hausse de
la charge de travail, non-reconnaissance des qualifications, stagnation des rémunérations et inflation
galopante... tous les indicateurs virent au rouge !
Qualifiées, autonomes, engagées, mais trop souvent oubliées, ces professions sont peu reconnues. Des technicien·ne·s, issu·e·s des trois versants de la fonction publique (État, territoriale et hospitalière) partagent leur expérience.
Elles et ils dressent un constat sans concession et avancent des idées pour sortir du marasme en conjuguant le sens du travail avec la reconnaissance professionnelle. Elles et ils refusent de se résigner, veulent faire entendre leur voix au service de l’intérêt général et du progrès social et attendent un syndicalisme de transformation sociale porté par l’Ugict-CGT.
Le baromètre annuel de l’Ugict-CGT vient confirmer ces constats ainsi que leurs attentes. À travers cette publication, nous avons voulu redonner toute leur place aux agents publics de catégorie B et mettre en avant l’aspiration à mieux travailler et vivre autrement.
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